Sa Passion, Ses Motivations, Ses Projets et ses Ambitions.
Inspiré par le Classic des années 80, Marvin depuis tout petit déjà, est touché par le virus et continué avec le flambeau légué ses parents amoureux de la mode et qui l’ont toujours mis sur la ligne. Dès l’âge de 11 ans, il commence à acheter lui-même des petits trucs qu’il voulait dans sa garde-robe. Un homme peut faire tout ce qu’il veut, il suffit juste de travailler et croire en soi, une inspiration dont il tire la source de son père.
La vingtaine aujourd’hui, Marvin évolue et souvent, prend de l’avance sur son temps. Alors qu’il choisit ses tenus en fonction de ses humeurs et du lieu où il se rend, il n’a pas de préférence car il aime bien le mélange pour avoir un truc original, toujours en quête de singularité. Totalement libre et indépendant dans ses looks, il a commencé comme tout le monde et s’est forgé une grosse réputation sur les réseaux sociaux. Un visage de plus en plus célèbre. Tout part de la création d’un groupe avec des amis Appelé « les Gaza », accro aux shootings de rue. Ce concept est lancé et un grand mouvement s’est propagé dans tout le pays. On peut voir aujourd’hui tout le monde faire des shootings de rue. Ayant tiré des leçons, il s’en sert pour avoir une large visibilité et rester d’actualité. Il étudie les tendances et sait désormais quoi, comment, quand et vise les heures de grande connexion… c’est à juste titre qu’il est suivi par près de 100 000 Followers sur Instagram et Facebook.
Nanti d’un BTS en Commerce International puis d’une Licence en Marketing, Onambele Bala Tobie Marvin est une tête pleine et se définit en trois mots clés : créativité, confiance, travail. Polyvalent dans l’âme, il est également photographe professionnelle, car ce qui l’attire sur l’image c’est l’instant que l’instant que grave la photo et qu’on ne peut rattraper même avec les souvenirs. Il accompagne les célébrités pour la gestion de leur image et ce sont ses amis. Au regard de son œil avisé et plurivalent, on le considère comme un conseiller vestimentaire, parce qu’il sait porter les choses que les gens n’ont pas encore porté et leur donner de la valeur. Et par la suite, comme dit l’adage toujours imité mais jamais égalé. Certains le copient et lui, il a toujours un coup d’avance d’où son nom : Le Bagarreur de la Sape.
Homme de conviction, Le Bagarreur de la Sape croit en ces rêves et combat pour les réaliser, peu importe le temps. Il a ouvert une boutique de vêtements mixtes (Hommes-Femmes) appelée » Le Future », il commercialise également les accessoires et chaussures, vente de tout pour fashion addict. C’est un concept first class, vu qu’il ne va pas seulement vendre, mais aussi proposer certains vêtements avec la morphologie et le milieu où évolue son acheteur avec des prix abordables. Il a une cible précise, la jeunesse amoureuse de la mode en particulier et en général tout dans la mode. Un voyage en Chine pour acheter la majeure partie de la marchandise mais se ravitaille aussi dans les brocantes et marchés camerounais. Une ligne de vêtement à son actif appelé Fight, son slogan personnel c’est : se créer des opportunités et les concrétiser.