A la découverte de Jahiem C
Après de longues études passées à l’école de célébrités nigérianes et américaines de musique urbaine telles que Flavour, 2 Fan, Chris Brown, Brandy et Jason Deroulo, Jahiem C décide finalement de se consacrer à la création musicale à forte propension urbaine comme ses pères en commettant son premier opus baptisé « On My Mind » publié sur le territoire français en 2017.
Pour relire les origines de la carrière de Jahiem C, il faut remonter le temps en 2012. A cette époque où son génie musical est encore en gestation, Jahiem C exerce son talent avec le groupe Quebec qui le façonne pendant une année sur les techniques appropriées du chant, les harmonies, l’improvisation et la création. Suite à l’obtention de son approbation à la University Of Kalaba, Jahiem C est contraint de quitter son groupe pour émigrer au Nigéria. Le voyage dans sa nouvelle patrie lui donne l’opportunité de s’imprégner des rythmes locaux et de la culture musicale américaine.
A l’issue de trois années de découverte et d’initiation à la musique, Jahiem C est enfin de retour au Cameroun, sa terre natale où il est contacté par Biben son futur arrangeur qui croit en lui et lui donne l’occasion d’enregistrer son tout premier album baptisé « désolé ».
La collaboration va bon train et aboutit plus tard avec la production d’un maxi single « On My Mind » et « Bamenda ». Cette production qui porte l’estampille de société Djam Production en Suisse lui vaut des appréciations du publique qui le baptise le Chris Brown du Cameroun
Jahiem C présente au publique un album de sept (07) plages qui présente sa personnalité et son tempérament doux et calme. Ses mélodies envoûtantes et méditatives sont instructives et originales. Jahiem C propose au publique une variété de genres musicaux tels que le Makossa-Zouk, l’Afro Beat, la Pop, la Ragga et des essais de fusion entre ces genres, tout ceci assorti de textes forts chantés par-dessus tout en langue anglaise et française.
Artiste sensualiste et rêveur, Jahiem C propose à son publique la suavité de ses caresses musicales dont les titres Another’s Food Man, bébé je t’aime et I Love My Life sont exprimées dans une fusion Zook-Makossa, les titres « désolé », « Soya pimenté » essentiellement Afro Beat, le titre Bamenda e qui sonne comme une hymne à la paix sociale et à l’unité nationale, la dernière plage, « On My Mind », titre phare de l’album est un aveu d’amour à l’être aimé dans une fusion de la pop avec la ragga.
https://www.youtube.com/watch?v=6eqDpdDNZjc