La mise à jour du site Internet dédié à la 3ème du
festival Couleurs Urbaines est effective depuis quelques jours. Un design de
rêve…C’est Couleurs Urbaines version e-
Le style customisé de couleurs urbaines et la fraîcheur
des artistes du groupe X-Maleya sont les éléments
significateurs qui émergent de la page d’accueil du site Internet officiel de la
troisième du festival Couleurs Urbaines : www.couleursurbaines.net. La visite du site est rendue plus agréable et véritablement plus
attrayante par le flow de musique qui est distillé automatiquement dès
l’ouverture du site.
Naturellement les têtes d’affiches sont présentes dans
cette playlist 100% hiphopée. On peut alors écouter à souhait le dernier tube du
groupe X-Maleya « Yelele », le featuring déchirant de
Krotal et Duc-Z « Freedom », le « Beleck » de
Sir Nostra, et même les pleurs et inquiétudes de la jeunesse
camerounaise portés par l’ingénieux Valsero, dans sa « Lettre
au président ».
Ce site Internet original entièrement réalisé en flash et
à la pointe de la technologie web, vient, si besoin était encore, confirmer que
la bande à Hans a définitivement décidé d’en mettre plein la vue aux
festivaliers de la troisième. Une grande première dans l’environnement web
Camerounais.
Sa richesse en termes de rubriques (le festival en
images, galeries d’images, vidéos, l’édition 2009…). Sur ce site, le monde
entier pourra suivre live & direct les émissions TV entièrement produites et
diffusées sur le site du festival grâce à la rubrique Web
TV. Pour la proximité avec les internautes, une newsletter et un
formulaire de contact viennent relever le côté interactivité que l’équipe du
festival a bien voulu créer. Un site relooké, construit dans les normes et
canons de la technologie, avec un visage très fun et très sexy pour un festival
du genre et qui n’a rien à envier aux autres.
Cependant, la grande inconnue de cette équation du
festival Couleurs Urbaines reste et demeure : la tête d’affiche. Tout le mystère
fait autour de son nom est très certainement lié à la hauteur de la réputation
de l’artiste. On ne perd rien à attendre…
