hello@kamermoov.com
mardi, avril 16, 2024
On Djoss

Feros le Syndicaliste parle

Artiste, Feros est aussi un syndicaliste. Le leader du bantou pôsi nous parle de ce côté de lui que beaucoup ignorent.

Salut Feros, Artiste mais aussi Syndicaliste, tu es vice-président du Synamurca et membre fondateur, en quoi consiste le boulot du vice-président d’un syndicat ?

Salut, d’abord il faut noter qu’un syndicat est une association de personnes ayant pour objectif la défense des intérêts professionnels Commun de ses membres, au Synamurca nous avons krotal qui le président national responsable de la politique générale du syndicat: avec ses vices qui ont pour rôle de le remplacer s’il ne peut plus exercer ou en cas d’absence, de le représenter dans certaines institutions. Dans la structuration du Synamurca nous sommes trois vice president: vp1 Boudor charge des relations publiques, vp2 moi Martin feros chargé des relations administratives en suite le vp3 Achille for life chargé des partenariats économiques.

Le Minac a fait passer la loi 1076 qui est décriée par certains artistes et hommes de culture. Quelle est la position du syndicaliste Feros par rapport à cette loi?

Le rôle du Synamurca par rapport à la loi 1076 face à cela, notre président national qui est chargé de la politique générale avait préparé les propositions que nous étions en plein débat pour les faire valoir, mais là c’est déjà tard ! Le chef de l’état a donné le mot d’ordre! Mais notre rôle c’est aussi proposer, imposer enfin revendiquer selon notre vision.

En dehors du Syndicat mènes-tu d’autres actions individuelles qui consistent à défendre les droits des artistes ?

En dehors du syndicat je suis toujours au service des artistes aidé et conseillé les plus jeunes, j’étais pieds et mains liés aux combats des droits d’auteurs à un temps j’ai pris du recul car c’est trop de mensonges manipulations combats égoïsmes, haines, manques de respects etc… En gros c’est un nid de sorcellerie trop dangereux.

Le Covid-19 règne toujours en maitre, comment gères-tu le quotidien quand on sait qu’il n y a ni droits d’auteurs, ni spectacles…

Oui le covid 19 a paralysé beaucoup surtout chez nous les artistes : pas de droits d’auteurs, pas de spectacles, bref aucune entrée d’argent précarité totale les autres veulent changer de métier, mais obligé de faire avec; le lion ne sera jamais une souris c’est quand les temps sont durs qu’on reconnaît les vrais durs, ça ira.

Leave a Response