Le titre Hein Père a enflammé la cuvette de Mfandena cet après midi lors de la mi-temps Cameroun-Libye.
Désormais, sa puissance ne connait plus de limite ; Stanley Enow est en passe de devenir une marque. Ce que ce jeune rappeur camerounais réalise avec son fameux titre Hein Père, jamais aucun autre ne l’avait fait avant. Certains l’on surnommé le Messie, pour d’autres il est « LE » véritable king loin d’une espèce d’autoproclamation ou d’une simple copie. Stanley Enow est authentique, il est unique. Il a le don de mettre hors de soi toute personne à proximité de sa vibe délirante et de son flow envahissant.
Cela se vit ailleurs, lors des super bowl aux Etat-Unis pour ne citer que cet exemple ; un artiste qui vient surchauffer le terrain pendant la pause d’une rencontre qui plus est très importante et capitale. Force est de rappeler cependant que tout le monde n’a ce privilège ; chanter devant près de 40 000 spectateurs qui de surcroît reprennent mot par mot vos couplets, il fallait surement porter le nom Stanley Enow et prouver son talent pour se voir offrir la primeur d’une telle considération.
Le Banyangui Boy arborait le maillot camerounais ; d’ailleurs, il reprendra une partie de l’hymne national avant d’envouter le public avec ce qui est en voie d’être adopté comme second hymne par tous les camerounais : « Djombolos vient on va au Beignet-haricot yeah (…) Yééééé Maléééé », voici un Lion Indomptable qui porte fièrement le flambeau kamer.
Le Cameroun a battu la Libye 1-0, et nous restons… Hight Père !
