Inspiré de la crise socio–politique Camerounaise, la chanson aura pu s’appeler « Moan bassa » « Moan Awolor » « Moan haoussa » s’il était de ces autres tribus camerounaises. JUDDAH élimine les barrières mentales de la colonisation qui nous poussent à s’appeler francophone ou anglophone.
Il est plus facile de nous diviser sur un ou deux sujets mais l’exercice devient plus compliqué sur plus de 250 tribus. Notre Diversité devrait notre force, notre richesse et doit enrichir. Tel est le message que JUDDAH veut véhiculer.
« Je suis Eton et Camerounais et non Francophone et camerounais. Francophone ou Anglophone ne sont pas des nationalités pour l’artiste JUDDAH.
Moan Eton vous transporte dans le Cameroun profond. Un mélange de français, anglais et l’Eton pour encourager les uns et les autres à être soit même et utiliser leur talent pour protéger notre héritage culturel.
JUDDAH voudrait que chaque camerounais se sente fier de parler sa langue maternelle et ressente le besoin d’apprendre à sa progéniture sa culture au risque de voir ce patrimoine disparaître.